Web

Voilà plus d’un an que je travaille sur une nouvelle version de mon jeu esviji développé en technologies Web, et plus particulièrement en SVG.

Avant la sortie prochaine de cette v2 sur tous vos écrans, voici déjà un petit teasing de son interface devenue complètement responsive :

When trying to use a 100vh CSS value to build a new interface for a game that would use the full viewport, I discovered that this full height value meant the bottom of the game interface was partialy hidden behind the browser buttons bar or below the "fold" of some mobile browsers.

Diigo a décidé de supprimer les listes, si pratiques pour rassembler des bookmarks par thématiques ou destinations de redistribution — j’en utilise une pour les CleverMarks par exemple — sans « polluer » les tags, au profit d’une nouvelle fonctionnalité Outliner, bien plus proche d’un outil de prise de notes comme Evernote que d’un outil de bookmarking social. Du coup je m’en vais voir ailleurs si l’herbe est plus verte.

Pour faire des animations sur le Web, tout le monde sait que l’on peut utiliser CSS si l’animation est prédéfinie, ou JavaScript si elle dépend d’un contexte particulier (éventuellement en générant de la CSS). Si c’est du SVG que l’on veut animer, il est possible d’utiliser en plus SMIL.

J’avais adopté une structure très simple avec juste une rubrique blog lors de la dernière refonte, mais je commence à discerner deux grands thèmes dans mes articles, le web et la photo, donc j’ai décidé de créer des rubriques. De nouvelles URL les accompagnent évidemment. J’ai quelques questions pour vous pour la suite…

Si vous étiez à Paris Web cette année, vous avez dû remplir l’« enquête de satisfaction » comme tout le monde… Quoi ? Pas encore ? Alors allez-y maintenant ! On vous y invitera notamment à suggérer des sujets et orateurs pour la prochaine édition, celle des 10 ans. Voilà ce que j’ai proposé.

J’avais découvert chez Luke Wroblewski¹ que la galère historique des mots de passe masqués dans les champs de formulaires Web n’est pas une fatalité, et je découvre aujourd’hui qu’il n’était pas le premier à y penser ni le mettre en œuvre. Voilà quelques ressources sur le sujet fournies par quelques-uns qui ont répondu à mon appel à références sur Twitter.

Non, je ne parle pas des Pim’s de LU, mais des outils de Product Information Management, extrêmement utiles aux activités de e-commerce, surtout avec la croissance rapide des besoins de présence et vente multi-canal.

Après avoir eu des retours plutôt nombreux et positifs suite à ma conférence à Paris Web 2013, j’ai retroussé mes manches pour proposer une version plus rédactionnelle, en essayant de retranscrire tout ce que j’ai dit mais pas mis dans mes slides, et même plus. Et j’ai la chance d’avoir vu ce très long article publié sur 24 Jours de Web, « le calendrier de l’avent des gens qui font le web d’après ».

Un joli design pour ces 24 Jours de Web cuvée 2013

Quand les clients ne nous imposent pas de travailler sur leurs propres machines —heureusement pas trop souvent—, ils nous imposent souvent un proxy pour accéder à Internet, le grand méchant loup. S’il est bien connu que les règles de filtrage imposées sont souvent contre productives, l’auto configuration à l’aide d’un fichier .pac peut ajouter une contrainte supplémentaire pour les développeurs.